
1973. Cette année a été une année charnière pour la qualité de l’air intérieur. Nul n’ignore que cette date correspond au premier choc pétrolier. Parmi les idées qui ont germé lors de cet événement, certaines concernaient les habitations comme par exemple mieux isoler pour moins consommer.
L’augmentation du prix du pétrole a pour conséquence directe l’augmentation du prix du fioul domestique - ressource nécessaire pour chauffer de nombreux logements en France.
Si l’on part du postulat qu’isoler permet de garder la chaleur et de réduire les pertes de chaleur, il est possible de conclure que mieux isoler permet d’économiser de l’énergie et de réduire ses dépenses.
Néanmoins, si l’isolation permet l’économie d’énergie, il s’est avéré que l’air intérieur était par conséquent de plus en plus vicié. Les mouvements d’air dans les logements sont plus faibles du fait de la bonne isolation, ce qui entraine une forte augmentation de la pollution intérieure.
D’après les études menées, la qualité de l’air intérieur dépend de trois facteurs : les occupants, les sources de contamination et le mouvement de l’air.
Si les deux premiers facteurs peuvent être, en partie, résolus par l’éducation et la sensibilisation des individus, le troisième est le résultat de la construction du logement à l’origine.
La question actuelle est de savoir comment allier isolation et ventilation. En effet, même avec le développement des VMC, le taux de renouvellement de l'air ne cesse de diminuer et l'humidité de se développer.
De fait, ce conseil n’a jamais été à ce point nécessaire : Aérez !!
L’augmentation du prix du pétrole a pour conséquence directe l’augmentation du prix du fioul domestique - ressource nécessaire pour chauffer de nombreux logements en France.
Si l’on part du postulat qu’isoler permet de garder la chaleur et de réduire les pertes de chaleur, il est possible de conclure que mieux isoler permet d’économiser de l’énergie et de réduire ses dépenses.
Néanmoins, si l’isolation permet l’économie d’énergie, il s’est avéré que l’air intérieur était par conséquent de plus en plus vicié. Les mouvements d’air dans les logements sont plus faibles du fait de la bonne isolation, ce qui entraine une forte augmentation de la pollution intérieure.
D’après les études menées, la qualité de l’air intérieur dépend de trois facteurs : les occupants, les sources de contamination et le mouvement de l’air.
Si les deux premiers facteurs peuvent être, en partie, résolus par l’éducation et la sensibilisation des individus, le troisième est le résultat de la construction du logement à l’origine.
La question actuelle est de savoir comment allier isolation et ventilation. En effet, même avec le développement des VMC, le taux de renouvellement de l'air ne cesse de diminuer et l'humidité de se développer.
De fait, ce conseil n’a jamais été à ce point nécessaire : Aérez !!